429 pages, transplantation réussie
Après une grosse journée d’ouvrage, me voici avec cinq chapitres révisés, deux transplantés du livre II au livre I, un chapitre rayé (mais qu’il faudra sans doute réécrire, je n’en sais trop rien pour l’instant) et, malgré quelques ajouts intéressant, sept pages de moins.
Mieux encore, la transplantation m’a permis d’éliminer un contexte spacio-temporel difficile à justifier, et de terminer le livre I par une humiliation terrible pour me personnage principal, qui venait de remporter une victoire aussi importante qu’invraisemblable. Cela devrait tempérer le syndrome du personnage chouchou à son auteur, qui constituait, selon moi, la première faiblesse du livre I.
Mieux encore, la transplantation m’a permis d’éliminer un contexte spacio-temporel difficile à justifier, et de terminer le livre I par une humiliation terrible pour me personnage principal, qui venait de remporter une victoire aussi importante qu’invraisemblable. Cela devrait tempérer le syndrome du personnage chouchou à son auteur, qui constituait, selon moi, la première faiblesse du livre I.
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