2 en 2: The Last Sect
Encore une soirée ciné hier et, comme d’habitude, je suis sauté sur le dernier film de vampire disponible. Ce n’est pas un hasard si il a été produit par la même maison que 5ive girls: c’est sur le dernier DVD que j’avais vu le preview de celui-ci.
Même procédé: prendre un acteur au bon ratio célébrité/prix et le faire jouer dans un film fantastique avec un tas d’acteurs (et d’actrices) surtout populaires au petit écran. Ici, David Carradine incarne Abraham Van Helsing, descendant de son célèbre homonyme (ce qui n’est plus très original, il faut bien l’avouer). Malgré son kung fu encore pas mal, notre Bram ne se sent plus très en forme et va faire appel à un certain Karpov, tueur de vampire joué par le très reconnaissable Julian Richings et qui, malgré sa constitution de chat affamé, laisse les brutes comme Blade loin derrière question efficacité et style.
Quand aux vampires eux-même... je veux dire «elle-mêmes» parce qu’il n’y a que des (splendides) femmes dans leur petite secte, elles dirigent en sous-main une agence de rencontre (mal nommée Artemis) et un site web où elle bouffent du mec en direct. C’est étrange, innattendu et pas très logique en apparence, mais ça permet de filmer quelques très belles scènes.
Le reste du développement est archiclassique, l’histoire si mince que la résumer serait la révéler, mais, encore cette fois, ce n’était pas le nanar que j’attendais. Le film est parfaitement honnête et, si son dévelopement est lent, il contient des scènes d’antologie qui devraient plaire à tous les amateurs du genre. Comme 5ive girls, l’érotisme est omniprésent sans jamais tomber dans l’exès de nudité (y en a pas, pour être exact) ou la vulgarité. Bref, une expérience très au-dessus de ce que à quoi on peut s’attendre d’un série B.
Décidément, le Canada comemnce à se réveler source d’intéressants films fantastiques. Le Québec devra répliquer, et pour se faire, il faudra faire mieux que l’exécrable «Éternelle» ou le décevant «La Peau Blanche».
Même procédé: prendre un acteur au bon ratio célébrité/prix et le faire jouer dans un film fantastique avec un tas d’acteurs (et d’actrices) surtout populaires au petit écran. Ici, David Carradine incarne Abraham Van Helsing, descendant de son célèbre homonyme (ce qui n’est plus très original, il faut bien l’avouer). Malgré son kung fu encore pas mal, notre Bram ne se sent plus très en forme et va faire appel à un certain Karpov, tueur de vampire joué par le très reconnaissable Julian Richings et qui, malgré sa constitution de chat affamé, laisse les brutes comme Blade loin derrière question efficacité et style.
Quand aux vampires eux-même... je veux dire «elle-mêmes» parce qu’il n’y a que des (splendides) femmes dans leur petite secte, elles dirigent en sous-main une agence de rencontre (mal nommée Artemis) et un site web où elle bouffent du mec en direct. C’est étrange, innattendu et pas très logique en apparence, mais ça permet de filmer quelques très belles scènes.
Le reste du développement est archiclassique, l’histoire si mince que la résumer serait la révéler, mais, encore cette fois, ce n’était pas le nanar que j’attendais. Le film est parfaitement honnête et, si son dévelopement est lent, il contient des scènes d’antologie qui devraient plaire à tous les amateurs du genre. Comme 5ive girls, l’érotisme est omniprésent sans jamais tomber dans l’exès de nudité (y en a pas, pour être exact) ou la vulgarité. Bref, une expérience très au-dessus de ce que à quoi on peut s’attendre d’un série B.
Décidément, le Canada comemnce à se réveler source d’intéressants films fantastiques. Le Québec devra répliquer, et pour se faire, il faudra faire mieux que l’exécrable «Éternelle» ou le décevant «La Peau Blanche».
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