Vive les congés payés!
Il y aurait beaucoup à dire, entre l'indignation face au gouvernement obscurantiste du Canada et le plaisir de connaître enfin quelques jours d'été. Cherchant quelque chose à lire dans une bouquinerie de Saint-Denis, j'ai pris une vieille biographie de Zola. L'histoire de ce bûcheur, passé de la pauvreté à la gloire à force de travail, m'a fait un peu honte. J'ai donc retrouvé la motivation pour écrire un peu.
À vrai dire, je n'ai pas vraiment cessé de travailler. Les coupures au bureau me laissent du reste un peu plus de temps libre. Mais j'ai surtout fait de la recherche, pour la suite de la Condamnée comme pour Visites à la Morgue de Paris. Je constate encore une fois que Scrivener est un merveilleux outil, qui permet de travailler sur un plan et de faire de la recherche avec une aisance extraordinaire.
J'ai commencé un nouveau chapitre de la suite, qui deviendra le premier en fait. L'histoire commence à prendre forme, j'ai le sentiment de vivre de mieux en mieux mon récit. Je suis assis à un endroit que je ne connaissait pas encore, le café la Gitane, sur Saint-Denis. Les très grandes fenêtres ouvertes laissent entrer la brise d'été, parfumée par les narguilés. Je sirote un thé à la menthe, et la musique orientale mêlée au parfum enivrant vont peut-être m'assister dans le reste de la scène, où interviendra une certaine tention érotique.
À vrai dire, je n'ai pas vraiment cessé de travailler. Les coupures au bureau me laissent du reste un peu plus de temps libre. Mais j'ai surtout fait de la recherche, pour la suite de la Condamnée comme pour Visites à la Morgue de Paris. Je constate encore une fois que Scrivener est un merveilleux outil, qui permet de travailler sur un plan et de faire de la recherche avec une aisance extraordinaire.
J'ai commencé un nouveau chapitre de la suite, qui deviendra le premier en fait. L'histoire commence à prendre forme, j'ai le sentiment de vivre de mieux en mieux mon récit. Je suis assis à un endroit que je ne connaissait pas encore, le café la Gitane, sur Saint-Denis. Les très grandes fenêtres ouvertes laissent entrer la brise d'été, parfumée par les narguilés. Je sirote un thé à la menthe, et la musique orientale mêlée au parfum enivrant vont peut-être m'assister dans le reste de la scène, où interviendra une certaine tention érotique.
Commentaires
Envoie-moi des nouvelles, je me demande ce que tu deviens.
Ecris-moi ici : marie@moonprototype.com
Je t'embrasse.
Marie.