Le temps des lilas
J'adore le quartier où j'ai choisi d'habiter!
Le printemps me rend peut-être un peu trop heureux, mais tout semble débloquer. Je profite du beau temps pour marcher dans tous les coins de mon quartier. Depuis deux semaines environ, les lilas fleurissent. Dans mon café favori, où j'ai pris le petit déjeuner ce matin, l'air en était littéralement embaumé. Une touche de plaisir végétale m'aide à supporter ce qui était, pour moi, le mauvais côté de Montréal.
Je m'aperçois aussi que je commence à véritablement m’approprier cette ville. Je m'y oriente mieux, j'en connais davantage les recoins (enfin, dans les deux quartiers que je fréquente sans arrêt. Avec le congrès Boréal et la réouverture imminente de mon bar favori (le Passeport) à laquelle je ne croyais plus vraiment, les «vibrations» sont bonne pour me remettre au travail.
Je viens donc de compléter deux bonnes journées de travail littéraire, encore une fois (hélas) pour la suite de mon roman, qui n'est pourtant pas mon projet prioritaire. Mais j'ai trouvé le fil conducteur qui pourra rassembler tous les éléments disparates de mon récit, qui tournera en fin de compte autour du personnage d'Abaddon, l'ange exterminateur de l'Apocalypse. Ce nouvel arc me permet aussi de combler certaines incohérences et de créer une intrigue qui sera, je le crois, passionnate. Elle jettera enfin un éclairage particulier sur plusieurs personnages du premier livre). J'ai remanié en profondeur le plan (mais il reste du boulot à faire) et, parce que j'en avais envie, j'ai écrit un chapitre entier.
Le congé férié de demain me permettra de terminer de remanier le plan.
Le printemps me rend peut-être un peu trop heureux, mais tout semble débloquer. Je profite du beau temps pour marcher dans tous les coins de mon quartier. Depuis deux semaines environ, les lilas fleurissent. Dans mon café favori, où j'ai pris le petit déjeuner ce matin, l'air en était littéralement embaumé. Une touche de plaisir végétale m'aide à supporter ce qui était, pour moi, le mauvais côté de Montréal.
Je m'aperçois aussi que je commence à véritablement m’approprier cette ville. Je m'y oriente mieux, j'en connais davantage les recoins (enfin, dans les deux quartiers que je fréquente sans arrêt. Avec le congrès Boréal et la réouverture imminente de mon bar favori (le Passeport) à laquelle je ne croyais plus vraiment, les «vibrations» sont bonne pour me remettre au travail.
Je viens donc de compléter deux bonnes journées de travail littéraire, encore une fois (hélas) pour la suite de mon roman, qui n'est pourtant pas mon projet prioritaire. Mais j'ai trouvé le fil conducteur qui pourra rassembler tous les éléments disparates de mon récit, qui tournera en fin de compte autour du personnage d'Abaddon, l'ange exterminateur de l'Apocalypse. Ce nouvel arc me permet aussi de combler certaines incohérences et de créer une intrigue qui sera, je le crois, passionnate. Elle jettera enfin un éclairage particulier sur plusieurs personnages du premier livre). J'ai remanié en profondeur le plan (mais il reste du boulot à faire) et, parce que j'en avais envie, j'ai écrit un chapitre entier.
Le congé férié de demain me permettra de terminer de remanier le plan.
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