Dernière session d’écriture à Sherbrooke
Voilà. Je partirai à Montréal ce jeudi, et c’est donc la dernière fois que j’écris à la brûlerie de café de Sherbrooke. C’est un nouveau départ pour moi. Je pèse de plus en plus ce qui va me manquer, mais en contre partie, les choses qui m’insupportent ici me pèsent de plus en plus. De même, les gens que je vais retrouver là-bas me manquent, et j’ai très hâte de les revoir.
Mon manuscrit doit être imprimé à trois exemplaires, à l’heure qu’il est. Une masse de papier de trois liasses de six cent trente-sept pages chacune. J’ai hâte de la voir.
Je passe à autre chose, en écriture. Histoire de m’aérer un peu le cerveau créatif. J’aimerais écrire quelque chose d’un peu plus léger, mais je dois admettre que l’atmosphère lourde et violente de «La Condamnée» me plaît bien. J'essaie aujourd'hui un nouveau logiciel spécifiquement conçu pour les écrivains. La période d’essai est de trente jours, j’ai donc besoin d’une histoire courte, afin de ne pas perdre mon travail, si en fin de compte le logiciel ne me plaît pas et que je décide de ne pas l’acheter.
Mon manuscrit doit être imprimé à trois exemplaires, à l’heure qu’il est. Une masse de papier de trois liasses de six cent trente-sept pages chacune. J’ai hâte de la voir.
Je passe à autre chose, en écriture. Histoire de m’aérer un peu le cerveau créatif. J’aimerais écrire quelque chose d’un peu plus léger, mais je dois admettre que l’atmosphère lourde et violente de «La Condamnée» me plaît bien. J'essaie aujourd'hui un nouveau logiciel spécifiquement conçu pour les écrivains. La période d’essai est de trente jours, j’ai donc besoin d’une histoire courte, afin de ne pas perdre mon travail, si en fin de compte le logiciel ne me plaît pas et que je décide de ne pas l’acheter.
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