Un soleil estival...
Je vous écrit en (léger) différé de la Brûlerie de Sherbrooke. Un soleil estival vient de succéder à une pluie printanière. Et j'attends tranquillement que mot bol de café au lait, saupoudré de cannelle, refroidisse pour pouvoir enfin le goûter.
Comme je me l’étais promis, j’ai mis les vacances des fêtes à profit pour remanier lourdement mon roman. Greffes, coupures, transplantations, modifications importantes de l’intrigue, tout cela n’a été qu’un début. Au fil des ajouts et des modifications, le fichier devenait de plus en plus lourd et malaisé à manier. J'ai donc découpé le fichier en chapitres, et désormais je les travaille individuellement, et les monte dans un document maître. Les chapitres se numérotent automatiquement, ce qui fait que je peux maintenant les déplacer à ma guise (et je ne m’en prive pas). Mieux, je peux supprimer un chapitre comme je le veux en éliminant le lien dans le document maître, mais toujours en avoir une copie dans mon dossier «chapitres».
L'opération a pris une bonne journée (et n'est pas encore terminée, il reste tout le livre trois à découper), mais les modifications vont maintenant bon train. Pour le prochain livre, je procèderai ainsi dès le début, ce qui me permettra de sauver des mois de travail ;)
Bref, écrivain n’est pas un métier différent des autres: il est utile de connaître à fond le fonctionnement de ses instruments de travail.
Je compte avoir une première mouture à soumettre à mes courageux amis d’ici un mois, à ce train. Je touche du bois.
Le café (que je n’ai découvert vraiment qu’il y a trois semaines environ) est très bien: les produits (dont le café) sont de première qualité, le café équitable est disponible et le lieu est rempli de gauchistes, d’artistes, d’étudiants et même d’écrivains en plein travail. Je ne suis donc pas le seul à taper sur un portable.
Là-dessus, je vous quitte. J'ai un roman et un bol de café qui m’attendent.
Comme je me l’étais promis, j’ai mis les vacances des fêtes à profit pour remanier lourdement mon roman. Greffes, coupures, transplantations, modifications importantes de l’intrigue, tout cela n’a été qu’un début. Au fil des ajouts et des modifications, le fichier devenait de plus en plus lourd et malaisé à manier. J'ai donc découpé le fichier en chapitres, et désormais je les travaille individuellement, et les monte dans un document maître. Les chapitres se numérotent automatiquement, ce qui fait que je peux maintenant les déplacer à ma guise (et je ne m’en prive pas). Mieux, je peux supprimer un chapitre comme je le veux en éliminant le lien dans le document maître, mais toujours en avoir une copie dans mon dossier «chapitres».
L'opération a pris une bonne journée (et n'est pas encore terminée, il reste tout le livre trois à découper), mais les modifications vont maintenant bon train. Pour le prochain livre, je procèderai ainsi dès le début, ce qui me permettra de sauver des mois de travail ;)
Bref, écrivain n’est pas un métier différent des autres: il est utile de connaître à fond le fonctionnement de ses instruments de travail.
Je compte avoir une première mouture à soumettre à mes courageux amis d’ici un mois, à ce train. Je touche du bois.
Le café (que je n’ai découvert vraiment qu’il y a trois semaines environ) est très bien: les produits (dont le café) sont de première qualité, le café équitable est disponible et le lieu est rempli de gauchistes, d’artistes, d’étudiants et même d’écrivains en plein travail. Je ne suis donc pas le seul à taper sur un portable.
Là-dessus, je vous quitte. J'ai un roman et un bol de café qui m’attendent.
Commentaires