Ambiance printanières

Quelques jours de soleil consécutifs ont permis aux arbres de faire éclater leurs bourgeons. Ma rue grise a pris un peu de couleur, les environs de mon quartier, que je découvre à peine, sont devenus splendides, et les gens sont visiblement plus heureux, plus détendus. Malgré les statistiques affirmant que notre hiver a, encore une fois, été taper dans les recors de chaleur, le sentiment général était que la grisaille morne avait assez duré. J'ai donc pu faire connaissance avec une douce inconnue, fumeuse et grise, j'ai nommé : le smog.

Je ne m'ennuie pas nécessairement des buissons de lilas qui, à Sherbrooke, se dressent partout, dans les quartier les plus chics comme les plus glauques, mais j'ai du mal à comprendre que les citadins arrivent à supporter ce condensé toxique qui brûle la gorge et pique les yeux.

Nouvelle idée de nouvelle cette semaine. Une histoire d'amour entre un écrivain et un archiviste. Les personnages se sont imposés à moi avec tellement de force que je n'aurai pas trop le choix de leur céder toute la place ce weekend. L'Enfer attendra.

Un salut spécial à Marie-Hélène, de qui je ne reçois pas souvent de coucou, mais qui est toujours fidèle. Nous nous rencontrerons un jour, je te le jure ;)

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